De mon âme nue
De mon âme nue
A mon coeur malade
Le temps lutte
Contre ces flammes
Je mutes en un extraterrestre solaire
Aux milles voix.
J'entends mon corps s'alourdir
Dépecé par un Dieu parkinsonien.
Les arbres flasques fabriquent un monde
Et mon ventre va craquer.
Des yeux me poussent à la place des joues
Je vois ma famille garder un visage plaisant
Alors que ma chair devient un festin d'étoile.
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