On a des vides
On a des vides plein les mains et pourtant on s'échappe.
Mon cœur fait dans la dentelle,
Dans le putassier et l'ordurier.
Je ne colporte pas les ombres qui m'ont parlé.
J'entends des voix de soldats me demandant
D'arrêter la Terre.
Il y a une machine à kebab qui tourne dans ma jambe.
Je ne laisse pas le ciel faire les courses le jour de Noël.
Pardon ! Pardon ! Pardon !
A ma langue sans nom
Qui se rétracte quand arrive le midi.
J'avale un bœuf,
Je fais tomber un œuf
Et j'enterre ma dernière tête
Dans le vase rose.
Mon sang ne fait qu'un tour de manège,
Les dimanches sont philanthropes,
Mon corps prend son bain tout seul,
C'est un grand garçon.
Je fais des miracles en exposant mes tétons
Face à la mer.
Dieu revient.
Il chante,
Il danse.
Mon cœur fait dans la dentelle,
Dans le putassier et l'ordurier.
Je ne colporte pas les ombres qui m'ont parlé.
J'entends des voix de soldats me demandant
D'arrêter la Terre.
Il y a une machine à kebab qui tourne dans ma jambe.
Je ne laisse pas le ciel faire les courses le jour de Noël.
Pardon ! Pardon ! Pardon !
A ma langue sans nom
Qui se rétracte quand arrive le midi.
J'avale un bœuf,
Je fais tomber un œuf
Et j'enterre ma dernière tête
Dans le vase rose.
Mon sang ne fait qu'un tour de manège,
Les dimanches sont philanthropes,
Mon corps prend son bain tout seul,
C'est un grand garçon.
Je fais des miracles en exposant mes tétons
Face à la mer.
Dieu revient.
Il chante,
Il danse.
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