Des momies se roulent dans la farine
L'été feint la mort.
Une écume fait vibrer mes orteils,
J'entends les enclos s'ouvrir
Dans la mer.
Des vaches nagent jusqu'au vertige,
Une angoisse nous étonne
Et nous fait avaler des enfers.
Je pousse mes dents jusqu'à la porte,
Elles s'enfuient.
Mon cerveau planifie ses prochains échecs.
Personne ne s'étonne ?
Qui s'étonne ?
Personne ?
Des momies se roulent dans la farine,
Un miroir renvoi à mon visage
Des cubes imaginaires,
Je penche mon corps au-dessus
D'un autre corps.
Les mains ont des pieds de cinquante fois
Leur taille.
On ne maudit jamais assez les moustiques.
Un meuble danse la valse dans l'au-delà.
Je mets ma main au feu
Et mon sexe dans l'eau.
Une graisse s'impatiente devant la foule.
Mes oreilles forment des mondes.
J'entends Pluton et mes artères.
Laissez le môme tranquille.
Laissez le môme tranquille.
Une écume fait vibrer mes orteils,
J'entends les enclos s'ouvrir
Dans la mer.
Des vaches nagent jusqu'au vertige,
Une angoisse nous étonne
Et nous fait avaler des enfers.
Je pousse mes dents jusqu'à la porte,
Elles s'enfuient.
Mon cerveau planifie ses prochains échecs.
Personne ne s'étonne ?
Qui s'étonne ?
Personne ?
Des momies se roulent dans la farine,
Un miroir renvoi à mon visage
Des cubes imaginaires,
Je penche mon corps au-dessus
D'un autre corps.
Les mains ont des pieds de cinquante fois
Leur taille.
On ne maudit jamais assez les moustiques.
Un meuble danse la valse dans l'au-delà.
Je mets ma main au feu
Et mon sexe dans l'eau.
Une graisse s'impatiente devant la foule.
Mes oreilles forment des mondes.
J'entends Pluton et mes artères.
Laissez le môme tranquille.
Laissez le môme tranquille.
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