Je pense
Débris de pensées sur un sol en marbre.
Les journées comptent leurs doigts,
Une curieuse jupe fulmine devant un ours,
J'entends les ombres courir entre mes veines.
J'arrête pas de penser, je pense, je pense, je pense,
Je pense, je pense, je pense, je m'époumone
En attendant que la caméra cesse
Et qu'un gentil monsieur me donne une tape
Sur l'épaule pour me dire que c'est fini.
La porte claque entre mes deux narines,
Je respire le non-sens et ma tête pendouille
Entre deux siècles,
J'ai ouvert le cœur d'un lézard
Lors d'un de mes rêves.
Puisque les murs ont des oreilles,
Je vais leur dire ce que je pense.
Mais je pense, je pense, je pense,
Je pense, je pense, je pense, je pense,
Je pense,
Et je ne dis rien.
Les journées comptent leurs doigts,
Une curieuse jupe fulmine devant un ours,
J'entends les ombres courir entre mes veines.
J'arrête pas de penser, je pense, je pense, je pense,
Je pense, je pense, je pense, je m'époumone
En attendant que la caméra cesse
Et qu'un gentil monsieur me donne une tape
Sur l'épaule pour me dire que c'est fini.
La porte claque entre mes deux narines,
Je respire le non-sens et ma tête pendouille
Entre deux siècles,
J'ai ouvert le cœur d'un lézard
Lors d'un de mes rêves.
Puisque les murs ont des oreilles,
Je vais leur dire ce que je pense.
Mais je pense, je pense, je pense,
Je pense, je pense, je pense, je pense,
Je pense,
Et je ne dis rien.
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