Le masque
Le masque que je porte
Au beau milieu de la nuit
Me permet de discuter
Avec les ombres qui m'entourent.
Les matins, je jette
Un nénuphar aux pieds des demoiselles.
Le soir, j'ouvre la fenêtre
Pour sentir l'air frais.
Mes cerveaux se font la malle,
Mes idées s'entendent
Pour me faire passer un mauvais quart d'heure.
Les journées sont fiévreuses.
Un éléphant entend des voix.
Une chouette habite au-dessus
De ma porte.
Le silence agace les enfants.
Deux lunettes discutent
De l'horizon.
Un homme boit jusqu'à étourdir
Son passé.
Le temps se presse
Pour s'en aller.
Au beau milieu de la nuit
Me permet de discuter
Avec les ombres qui m'entourent.
Les matins, je jette
Un nénuphar aux pieds des demoiselles.
Le soir, j'ouvre la fenêtre
Pour sentir l'air frais.
Mes cerveaux se font la malle,
Mes idées s'entendent
Pour me faire passer un mauvais quart d'heure.
Les journées sont fiévreuses.
Un éléphant entend des voix.
Une chouette habite au-dessus
De ma porte.
Le silence agace les enfants.
Deux lunettes discutent
De l'horizon.
Un homme boit jusqu'à étourdir
Son passé.
Le temps se presse
Pour s'en aller.
Commentaires