Les arrières grands-pères
Le temps dessine une ombre
Sur mon chemin.
Cette ombre est flasque,
Pleine de tissus, du rouge vif.
Les arbres se perdent dans la forêt
A la recherche du midi.
Un homme descend de sa chaise
Pour prier un Dieu qui ne l'oubliera pas.
Un oiseau s'attache à ses congénères
Pour voler en marge des nuages.
Une vie à aimer,
Une vie à aimer
Les vins d'autrefois,
Qui rendaient saoul les arrières grands-pères.
Moi, je ne me suis jamais connu,
Et je n'ai jamais eu l'intention de me reconnaître.
Cela sert peut-être à quelque chose
Mais ce quelque chose est lent et fastidieux.
Alors j'écris,
Pour savoir où dorment les ombres.
Sur mon chemin.
Cette ombre est flasque,
Pleine de tissus, du rouge vif.
Les arbres se perdent dans la forêt
A la recherche du midi.
Un homme descend de sa chaise
Pour prier un Dieu qui ne l'oubliera pas.
Un oiseau s'attache à ses congénères
Pour voler en marge des nuages.
Une vie à aimer,
Une vie à aimer
Les vins d'autrefois,
Qui rendaient saoul les arrières grands-pères.
Moi, je ne me suis jamais connu,
Et je n'ai jamais eu l'intention de me reconnaître.
Cela sert peut-être à quelque chose
Mais ce quelque chose est lent et fastidieux.
Alors j'écris,
Pour savoir où dorment les ombres.
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