Le tombeau vacant était occupé Par la femme aux yeux-orties.
Le tombeau vacant était occupé
Par la femme aux yeux-orties.
On ne dit plus jamais je
Depuis que le monde s'est raréfié en nous.
Le silence d'une oie blanche
Vaut bien le silence d'un homme potelé.
Des mygales détruisent une ampoule
Et ouvrent le cœur d'un sans amour fixe.
Les écrans regardent les tornades bouger,
Un éléphant coud une trompe sur le nez
D'un bébé,
Les mille virgules du discours du président
Des Français se font la malle.
Il parle de tout, de la pluie et du temps qui passe,
Hélas, entre les côtes des gens.
Tout devient souffle et oubli,
Quand l'ordre est là, tout va,
Sauf pour les cerveaux éclatés
En centaines d'hirondelles.
Le vase tombe,
Le vase tombe,
C'est une machine qui remonte
Aux espèces les plus menacées,
Que ce soit le guépard d'Inde
Ou le mille-pattes d'Indochine.
On écrit entre les vignes
En attendant le printemps.
Le soleil crispe ses rayons
En entendant la lune lui gueuler dessus.
Il doit partir,
Plus près des étoiles.
Il doit partir.
Par la femme aux yeux-orties.
On ne dit plus jamais je
Depuis que le monde s'est raréfié en nous.
Le silence d'une oie blanche
Vaut bien le silence d'un homme potelé.
Des mygales détruisent une ampoule
Et ouvrent le cœur d'un sans amour fixe.
Les écrans regardent les tornades bouger,
Un éléphant coud une trompe sur le nez
D'un bébé,
Les mille virgules du discours du président
Des Français se font la malle.
Il parle de tout, de la pluie et du temps qui passe,
Hélas, entre les côtes des gens.
Tout devient souffle et oubli,
Quand l'ordre est là, tout va,
Sauf pour les cerveaux éclatés
En centaines d'hirondelles.
Le vase tombe,
Le vase tombe,
C'est une machine qui remonte
Aux espèces les plus menacées,
Que ce soit le guépard d'Inde
Ou le mille-pattes d'Indochine.
On écrit entre les vignes
En attendant le printemps.
Le soleil crispe ses rayons
En entendant la lune lui gueuler dessus.
Il doit partir,
Plus près des étoiles.
Il doit partir.
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