Mes hivers rudes,
Que tu souffles d'une haleine nue,
Glace et font fulminer ces poissons délicats,
L'écaille torturée, La bouche fendue,
L'eau grise pressait en masse
Contre ton dos rond.
Tu es nue et je ne le crois pas,
Tes seins vivent de peintures,
Et de chants de lune,
Ta maison s'en va
Là où le soleil perd sa croute.
Les anges sont tumultueux
Puis versent en moi
La nuit sotte et dangereuse,
La voie lactée qui me sépare.
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